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Son histoire (Gorges_Guil) :
En balcon au dessus d'un ravin avec le Guil au fond, sur 4 kilomètres,
la route ouverte en 1856, fait frissonner ; mais c'était bien pire avec
le sentier muletier d'avant. La voie romaine qui reliait la vallée Ã
la préfecture des Escoyères, elle, cheminait de l'autre côté,
avec deux hameaux : le Gros et Prérioud. Le GR 541 là suit une
partie de la voie romaine. Pour Montbardon, des 28 familles à la fin du XVIIIème siècle,
il en reste peu mais les gites d'étapes et la fromagerie ont relancé ce petit hameau.
Bibliographie ( Gorges_Guil) (haut page):
- "Une Escoyère en Queyras" Antoinette Messimily. Ed de la
Vallouise 1982
Toute la bibliographie du Queyras :Bibliographie
Autres sites et hameaux à proximité:
Bramousse
Plus de 100 habitants à la Révolution, aujourd'hui très
dépeuplé ; le dernier ours du Queyras serait mort là vers
1880 ? l'origine du mot Bramousse viendrait de l'ours.
un gîte ; le Riou Vert ; une très belle vue sur les hameaux des
Escoyères et de Montbardon ; à un peu plus d'une heure de montée,
les chalets de Bramousse (1821 m) et, à 30 minutes, en forêt Ã
l'Est, le "mélèze remarquable" (vétéran
de François Ire qui d'ailleurs est passé dans la région).
De juin à septembre, "la ballade gourmande" relie Bramousse
et Montbardon.
Le hameau du Veyer dévasté par les incendies en 1669, 1712,
1779, 1859, 1860, et par les crues
du Guil (1957). Chapelle intéressante.
La chapelue, avec son école d'escalade ouverte depuis 1992. Les
gorges du Guil sont un lieu de
contemplation :mais aussi d'activité sportive : escalade, kayak, rafting
et canyoning dans le Guil. Un "parcours d'aventure" a été
balisé.
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